La station d’épuration répond à un besoin d’assainissement. Son utilité s’impose pendant la construction ou la rénovation d’une habitation. En conséquence, elle nécessite un investissement considérable. De ce fait, il est préférable de se fier à un professionnel du domaine pour faire un choix convenable. Ce dernier pourra ainsi bien évaluer les deux facteurs à prendre en compte à savoir la technologie et le matériau.
Se baser sur la technologie
Le dispositif d’assainissement individuel est recommandé pour les logements qui ne possèdent pas un raccordement à la chaîne de collecte commune. Par ailleurs, lorsque le propriétaire décide d’utiliser une micro station, il doit encore faire le choix d’un modèle particulier. Ce dispositif se classe en deux familles. En effet, une micro station peut être à culture libre ou à culture fixe. Mais, dans ces deux cas, elle s’active par assimilation aérobie des déchets dans les eaux. Elle exploite les bactéries présentes dans ces liquides usés pour dégrader biologiquement les polluants. Cependant, ces deux technologies se distinguent au niveau de la variation de la charge. De fait, le modèle à culture fixe est conseillé pour les habitations dans lesquelles le nombre d’utilisateurs change régulièrement. Ceci dit, découvrez la Waste Water Box.
Lire également : Arrêt Aramu du 26 octobre 1945 : impact sur le droit administratif
Sélectionner un matériau
La majorité des stations d’épuration est fabriquée en plastique ou en béton. Ces deux matériaux répondent à des besoins précis. Le plastique garantit une installation rapide et facile grâce à sa légèreté. De plus, il réduit l’étendu du travail et le prix de l’installation. Il peut d’ailleurs être renforcé avec des fibres de verre (PRV) pour permettre à la station de bénéficier d’une résistance remarquable à la pression. D’autre part, le béton permet d’effectuer des travaux d’assainissement d’une grande ampleur. Il permet à la station d’être robuste, lourde et par ricochet difficile à déplacer et à poser. À cause des contraintes qu’elle engendre pendant sa manipulation, ses prix sont élevés par rapport à ceux des dispositifs en plastique.
Lire également : Arrêt Besse 1991 : impact sur la jurisprudence française et analyse
