La mort fait malheureusement partie de la vie, et lorsqu’un proche décède, on pense au notaire, qui lui seul, peut entamer certaines démarches, notamment en termes immobilier. En effet, en tant qu’héritier, cette tâche n’est pas de tout repos, surtout dans ce moment pénible et douloureux. C’est là que peut intervenir un notaire.
Un notaire s’occupe du partage de l’héritage
Les étapes de la succession avec le notaire sont essentielles, car après avoir reçu le certificat de décès, il faut déterminer les héritiers. Ces derniers doivent prouver leur statut via un acte de notoriété ou un certificat d’héritage. Si le défunt n’a rien envisagé en ce qui concerne son héritage, ce professionnel s’occupera de tout, selon le statut de la personne décédée ; marié(e), célibataire, avec ou sans enfants, grand-parent, frère ou sœur, etc. Pour découvrir plus d’informations, rendez-vous sur un annuaire de notaires en Bretagne. Si le défunt a effectué un testament, le notaire appliquera ses dernières volontés. Celui-ci veillera à trouver les comptes bancaires et à faire le nécessaire pour cesser les prélèvements si besoin, clôture du compte, etc. Il réalisera l’inventaire des actifs et calculera la taxe à régler pour les héritiers. L’acte de notoriété coûte environ 67 €. Comptez approximativement une centaine d’euros pour un inventaire. La déclaration de succession varie entre 0.426 % HT et 1.548 % HT de l’acte brut selon la valeur du bien.
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Quand doit-on aller chez le notaire pour une succession ?
Une visite chez le notaire s’impose après le décès d’un proche notamment si la succession concerne :
- un bien immobilier,
- s’il y a un testament ou une donation entre époux,
- si le montant de la succession est supérieur à 5 000 €, incluant les comptes bancaires, les biens immobiliers et mobiliers, etc.
Dans d’autres cas de figure, vous n’avez aucune obligation, cependant, il est vivement conseillé d’avoir recours à un notaire, surtout s’il y a un risque de différends entre les héritiers. Bien sûr, il est possible de renoncer à la succession. Dans ce cas, vous n’aurez pas à payer les dettes en cours et ne recevrez aucun bien matériel ou financier.
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